Publié le 02/15/2020

Géobiologie et sagesse des Anciens : un héritage à redécouvrir

Facebook
Twitter
LinkedIn

La géobiologie, telle qu’elle était pratiquée par nos ancêtres, témoignait d’une connaissance profonde des interactions entre l’énergie terrestre et les lieux de vie. Aujourd’hui, à l’Institut Pierre Thirault, nous continuons à transmettre cet héritage, en alliant la géobiologie « naturelle » des anciens à la géobiologie « technologique » moderne, adaptée aux défis contemporains.

Les Sourciers : Maîtres de la Géobiologie Naturelle

Les sourciers des campagnes étaient autrefois les gardiens d’un savoir ancestral. Ils savaient comment localiser les cours d’eau souterrains et comprenaient leur influence sur la santé, notamment sur les crises de rhumatisme. Leur expertise ne s’arrêtait pas là : ils conseillaient également sur l’emplacement des portes, lits, fenêtres et cheminées pour éviter d’exposer les habitants aux effets négatifs des rivières souterraines.

Cette sagesse, bien que discrète, est encore utilisée dans certaines régions rurales, où le bon sens des anciens continue d’être appliqué.

Les Compagnons Bâtisseurs : Gardiens de la Géométrie Sacrée

Les compagnons bâtisseurs, maîtres des cathédrales et des abbayes, possédaient une connaissance approfondie des proportions harmonieuses et de la polarité des matériaux. Qu’il s’agisse du bois pour les charpentes ou de la pierre et du métal pour les structures, leur travail visait à insuffler une âme à chaque édifice.

Leur savoir se transmettait oralement de maître à élève, rendant ce savoir-faire précieux et rare. Les constructions respectaient des principes cosmotelluriques qui élevaient les vibrations des lieux bien au-delà des préoccupations des géobiologues modernes (les réseaux).

A large cathedral filled with lots of pews

La Magie des mesures : Coudées sacrées et Géométrie Cosmique

Les bâtisseurs utilisaient des coudées spécifiques, comme la coudée sacrée et royale, basées sur des principes célestes et terrestres. Ces mesures étaient alignées avec le mouvement du soleil, de la lune, et des étoiles, créant ainsi une harmonie parfaite entre le temps et l’espace.

La coudée « sacrée » était donnée par la place du soleil et de la lune à des moments clés avec la coïncidence entre la mesure de l’espace et celle du déroulé du temps tout ceci à travers la magie des nombres, la coudée royale était donnée avec le rapport de pi/6, la dernière étant donnée avec la place de la construction, son orientation et sa position sur Terre.

Outre l’utilisation de ces mesures qui concilient les mesures de l’Homme et les mesures cosmotelluriques, il était utilisé différentes figures géométriques comme le triangle et rectangle d’or calculés sur le premier Pythagoricien le 3/4/5, le bicarré, le 5/12/13 deuxième Pythagoricien, lui en rapport au temps et à l’activation de la molécule d’eau et d’autres petites merveilles de la géométrie harmonieuse.

À cela nous ajoutons les angulaires multiples de 9, soit le 18° expression de pi, le 27° et sa relation à la Lune, le 36° lever solsticial du soleil au S/E à Noël et au N/E en été à Locmariaquer notamment…, vous avez compris les connaissances de nos anciens étaient remarquables.

En intégrant des figures géométriques les compagnons réussissaient à capter l’énergie cosmique et terrestre, façonnant ainsi des structures en résonance avec l’univers.

Les Secrets de la polarité des matériaux

Les bâtisseurs des temps anciens accordaient une attention particulière à l’orientation des matériaux. En effet, chaque pierre utilisée dans la construction était marquée pour garantir un positionnement optimal, en respectant les axes magnétiques et électriques de la Terre. Cette technique permettait d’harmoniser les énergies du lieu, transformant les habitations en véritables sanctuaires de protection et de bien-être.

Ces principes incluaient également l’utilisation des pierres angulaires et des pierres de seuil, toutes positionnées selon des géométries précises pour maximiser l’effet protecteur des réseaux telluriques.

Les pierres utilisées étaient marquées au sortir de la carrière ce qui permettait de les positionner suivant les 3 axes des champs magnétique (N/S), électrique (E/O) et électromagnétique opposé à la force d’attraction de la terre car chaque matériau utilisé se faisait en fonction de la structuration de sa matière au moment de sa création, d’où la nécessité de bien l’orienter car cela permettait d’avoir une action de contrôle sur les réseaux telluriques et leurs incidences sur le monde des vivants.

Un héritage à revivre : Le phénix de la Géobiologie

Bien que beaucoup de ces savoirs aient été perdus au fil du temps, il est encore possible de les redécouvrir et de les appliquer à nos constructions modernes. Nous sommes loin de reproduire la majesté des bâtiments anciens, mais à l’Institut Pierre Thirault, nous croyons fermement que le phénix de la géobiologie peut renaître de ses cendres.

Nos habitations pourraient redevenir des cocons protecteurs, générateurs de vie, si nous prenons soin de réintégrer ces connaissances ancestrales dans la construction moderne.

Conclusion : redécouvrir la sagesse des Anciens à travers la Géobiologie

Les anciens possédaient une compréhension intuitive des forces cosmotelluriques et de l’influence des matériaux sur les lieux de vie. Leur sagesse, transmise à travers des siècles de pratique, est aujourd’hui redécouverte et réactualisée à l’Institut Pierre Thirault. En étudiant la géobiologie, nous apprenons à rétablir l’harmonie entre l’Homme, la Terre et l’Univers, pour créer des espaces de vie où l’énergie circule librement et où chaque personne peut se sentir protégée et revitalisée.

>> Découvrir notre formation en Géobiologie

Pour recevoir nos actualités et la newsletter de l'Institut Pierre Thirault