Mon introduction à la géobiologie
La Géobiologie s’est imposée à moi à la suite d’un accident à l’âge de 23 ans. J’observais alors une différence de bien-être significative, voire du mal-être, suivant le lieu où je séjournais.
Rencontres, apprentissages et collaborations : de la radiesthésie aux lignes à haute tension
J’ai fait mes premiers pas en radiesthésie avec le Vicomte Henry de France, Président des « Amis de la Radiesthésie ».
J’ai commencé mon apprentissage en Géobiologie en tant qu’élève de Henry Quiquandon, le « docteur Hartmann » français, puis comme partenaire pendant quelques années.
Avec Daniel Depris j’ai découvert et étudié l’impact des lignes à haute tension sur la santé, il y a 40 petites années. A cette époque personne n’en parlait. Etant physicien, j’ai pu expérimenter finement des modes de détections et remèdes appropriés.
Lors d’un salon à Paris j’ai rencontré Cunen qui faisait une démonstration de l’Antenne de Lecher (AE Lecher), démonstration qui ne m’a pas convaincu car Cunen, dans son souci de précision sans discernement, semblait paniquer toutes les personnes qu’il testait. Était-ce un jeu de pouvoir dans lequel de nombreux géobiologues peuvent tomber ?
Anecdote sur l’AE Lecher
Voici une petite anecdote riche en enseignement concernant l’AE Lecher que je raconte souvent à mes élèves : « Le géobiologue, souffrant de ne pas être pris au sérieux par la communauté scientifique (ce qui ne sera plus un problème quand elle maitrisera mieux l’outil quantique), a besoin de se justifier en se référant à des fréquences de la physique newtonienne comme l’a fait Bovis avec sa règle calée sur 6500 A°, longueur d’onde de la couleur rouge. L’AE Lecher semble porter la même intention. Parmi les élèves et partenaires de Henry Quiquandon, se trouvait un retraité de CII Honeywell Bull à Angers, qui s’était proposé pour fabriquer la règle de mesure en bakélite en utilisant la technique des circuits imprimés. Cependant, lors du procédé de fabrication, il se trompe et inverse le calque. L’échelle graduée, de fait, se trouva inversée. Mais ne le sachant pas, ceux qui utilisaient l’AE trouvaient quand même le bon résultat !! »
Pourquoi ?
Le curseur de l’AE Lecher rationalise la recherche (ce qui rassure la tête, le mental) et son approche « pseudo-scientifique » fait que le radiesthésiste ne doute pas (le doute étant un point de fragilité dans toute mesure radiesthésique). C’est le seul point positif de cette méthode, car l’attitude du testeur n’est pas confortable, le prix de la règle non plus !
Approche et méthodologie
J’ai ensuite effectué des recherches et étudié avec Jacques Ravatin pendant quelques années. Il a repris en partie les travaux d’Enel tout en créant sa propre méthode. C’est certainement la méthodologie d’analyse la plus performante. J’ai ainsi fait partie de son équipe pendant plusieurs années avec Raymond Montercy, partenaire très brillant dans son domaine et que j’ai beaucoup apprécié.
En parallèle, je faisais également partie de l’A.A.K. (Association Archéologique de Kergall) dont le thème d’études était les traditions anciennes comparées et la révélation de la pensée mégalithique et du système astrogéométrique appliqué à cette tradition. C’est de ce système astrogéométrique dont s’est inspiré Raymond Montercy pour mettre au point sa propre méthode : « les tracés régulateurs ». Je le revois encore lors d’un stage que l’on animait avec Jacques Ravatin à l’Abbaye de Saint Maur, tenant à la main un des bulletins de l’A.A.K., criant presque « il y a tout là-dedans ! » comme un « diable » tellement il était enthousiaste !
L’intégration de la spiritualité : chamanisme et méditation au cœur de la géobiologie
Pour conclure : comment aller à l’essentiel dans l’analyse des influences multiples au sein de l’habitat et dans l’application de remèdes idéalement simples, peu coûteux et qui tiennent dans le temps ?
Pour cela, ajouter à ces disciplines reliées à la radiesthésie :
- Une bonne dose de chamanisme. Mes maîtres en la matière ont été Margit Bohdalek, Olga « l’antillaise » et mes amis les Djinns de Turquie.
- Un chouilla de parapsychologie, apprise sous le regard de Raymond Réant.
- Méditation quotidienne et attention divisée à chaque instant. 21 années de pratique : 14 ans auprès de Mme Fleury et 7 ans auprès de Michel de Salzmann.
- Quelques décennies de pratique, avec honnêteté et humilité, deux conditions essentielles pour œuvrer sainement auprès des personnes en demande, sur sites, ou pendant la transmission.
C’est cet héritage que je transmets et partage au coeur de l’Institut
Comme disent nos élèves avec un grand sourire : il y a un « avant » et un « après » l’Institut !
Pierre Thirault